Au cours de leur enquête, des scientifiques ont retrouvé un vestige mortel dans des ruches parisiennes suite à l’incendie de Notre-Dame

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De nombreux cas

Comme l’indiquent les documents confidentiels du ministère de la culture, les zones les plus contaminées sont les plus proches de la cathédrale Notre-Dame. Cependant, il a fallu quatre mois aux autorités pour les décontaminer complètement. Et en septembre 2019, ils n’avaient toujours pas terminé les tests de toxicité de toutes les écoles des environs immédiats, selon le New York Times.

En outre, selon une étude de l’Université de Columbia, les résidents vivant sous le vent de l’incendie à moins de 1 100 mètres avaient probablement subi des niveaux d’exposition au plomb plus élevés que ceux officiellement indiqués. Entre-temps, selon le site d’information français Mediapart, l’Agence régionale de santé (ARS) et la préfecture régionale ont enregistré une douzaine de cas d’exposition au plomb chez les enfants en octobre 2019. Quelques 78 autres enfants étaient sous surveillance médicale.