Au cours de leur enquête, des scientifiques ont retrouvé un vestige mortel dans des ruches parisiennes suite à l’incendie de Notre-Dame

3153

Risque relatif

Cependant, les échantillons de miel prélevés par Dominique Weis et Kate Smith étaient loin d’atteindre de tels niveaux de toxicité. En effet, le miel contenait environ 2,3 nanogrammes de plomb par gramme, ce qui signifie qu’il était propre à la consommation humaine selon la législation de l’Union européenne.

Il faut savoir que le plomb est un métal lourd bioaccumulable, c’est-à-dire qu’il s’accumule dans le corps lors d’expositions répétées, mais qu’il faudrait donc consommer une quantité énorme de miel pour ressentir un effet toxique.