Le miel comme outil d’analyse
S’adressant à Science Daily, la co-autrice de l’étude Dominique Weis a déclaré que les résultats n’étaient pas surprenants. Elle a ainsi commenté : « Nous avons pu montrer que le miel est un traceur utile concernant la pollution environnementale en cas d’événement de pollution majeur… »
Elle a continué : « Ce n’est pas surprenant, puisque les quantités accrues de plomb dans la poussière ou la couche arable, qui ont toutes deux été observées… sont un indicateur fort de l’augmentation des quantités de plomb dans le miel ».