Un pas en avant
En 1952, alors qu’ils développaient de vieux Clunk, l’Aviation royale du Canada a reçu de nouveaux renseignements. Les Russes augmentaient encore une fois les enjeux. Ils développaient un autre avion.
On disait que c’était un appareil de haute technologie, à grande vitesse et très destructeur qui pourrait anéantir la nation canadienne. Mais il faudrait sept ans aux Soviétiques pour le perfectionner. Le Canada avait le temps. Il en a fait bon usage.